- Elle doit souvent sortir sa petite soeur de la misère, lorsqu'il s'agit de lui prêter un peu d'argent. Cette dernière la considère souvent comme étant sa banque personnelle.

- Elle n'a jamais réellement connu son père, avant que ce dernier ne se donne la mort en 2001.

- Elle n'a jamais apprécié aucun de ses collègues policiers. Elle aimerait bien changer de métier, si l'occasion s'y prête.

Celui trop prudent (Collègue) Une femme policière ? Aucun problème avec ça. C'est même très apprécié de la part de son collègue. Et pas uniquement pour aider lors d'intervention, mais bien pour améliorer certains collègues très peu discret au poste. Par contre, ce qui l'intéresse moins est le fait que cette dernière n'est pas assez prudente à ses yeux. Elle pourrait être pire, c'est bien vrai, mais elle pourrait également faire plus attention sur plusieurs petits détails. Quant à elle, elle ne s'intéresse pas du tout à ce collègue. Trop vieux jeu et surtout, pas son type d'homme.

Celui de trop au poste (Collègue) La jeune femme n'a jamais entretenu une bonne relation avec son collègue, le jugeant souvent trop jeune pour l'emploi. Ce n'est que quelques années de moins qu'elle, mais elle déteste lorsqu'il a raison. Disons qu'elle est peut-être un peu jalouse de la situation du jeune homme. Trentaine, papa travaille à la police aussi... Il a tout pour réussir et elle, n'a rien. Elle le déteste, c'est tout. Pour le jeune policier, c'est la même chose. Elle ne lui donne aucune attention alors pourquoi lui, devrait faire un effort ?

L'amant (Collègue) Dès qu'elle est entrée dans la salle des employés avec son petit sourire en coin et avec ses recommandations à ne plus finir, cet homme a sut que celle-ci était la bonne. Non, pas pour une épouse. Pas comme petite amie non plus. Disons qu'il se cherchait une complice pour les nuits froides d'hiver et même les chaudes d'été. Après un simple petit appel et une demande, la policière décida de prendre son collègue comme amant. Au diable si ce dernier avait des problèmes de comportements au travail ou ailleurs, ceci l'importe peu. Tout ce qu'elle souhaite, c'est d'avoir le contrôle sur le poste de police, ce qu'elle croit obtenir de cette manière. De l'amour dans l'air ? Pas du tout. Même pas d'un côté du ''couple''.

La dépensière (Soeur) Le téléphone sonna une nouvelle fois, la policière n'eut pas le courage de décrocher le combiné. Elle savait qui devait l'appeler une nouvelle fois, sa petite soeur. Depuis que cette dernière n'était plus chez leur mère, elle avait beaucoup de difficulté à rejoindre les deux bouts. Disons qu'elle s'autorisait des petits luxes qui n'étaient pas nécessaire. De jolis vêtements, des souliers à un prix extravagant, des bijoux scintillants et encore plus. Et dès qu'elle n'avait plus d'argent pour continuer sur sa lancée, elle appelait sa grande soeur pour que cette dernière puisse lui venir en aide. Une fois, cette dernière l'a aidé. Depuis, elle s'est jurée de ne plus jamais recommencer. La plus jeune des deux se sert de sa grande soeur comme d'une banque, espérant pouvoir soutirer de l'argent à profusion.

L'autre femme (Collègue) Les deux femmes auraient préféré travailler seule avec des hommes et puisque ce n'est pas le cas, la guerre est souvent prise entre elles.

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