- Il s'occupe présentement de sa mère, qui a des problèmes de santé. Elle réside à la résidence pour personnes âgées. Il la visite tous les jours.

- Il a un trouble obsessionnel compulsif concernant la propreté. Ce n'est pas un caprice, c'est une maladie. Il est incapable de vivre dans la saleté ou bien dans le désordre.

- Il a une fille qu'il n'a pas revu depuis des années. Elle est partie avec sa mère, lors de son divorce, en 2006.

La source de commérages et la petite mouche à merde (Connaissance) Ce barbier, il fascine le garçon, mais voilà... il ne sait pas pourquoi. Il s'amuse à se rendre dans sa boutique toutes les semaines et le canarder de questions sur sa vie et sur son métier. Il aime bien l'entendre parler des rumeurs que ses clients lui colportent. En fait, c'est peut-être juste qu'il a besoin d'une certaine figure paternelle et que cet homme là parle sans arrêt. C'est donc une présence masculine dans sa vie, présence dont il a besoin en ce moment. Mais bon... le garçon a beau être bien gentil, il est souvent de trop dans la boutique. Si le barbier le met souvent à la porte puisqu'il le dérange, il revient toujours le lendemain en lui posant de nouvelles questions. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il est persistant.

Son soutien, son sang (Mère) Bien des femmes auraient préféré avorter lorsqu'elle est tombée enceinte, très jeune. Bien des femmes auraient préféré cette souffrance à celle de se faire regarder de travers par les autres habitants de la ville, en accouchant alors qu'elle n'était pas majeure, loin de là. Elle n'a jamais regretté d'avoir gardé cet enfant, même si elle n'a eu aucune aide pour l'élever. Après tout, elle ne pourrait être plus fière de son fils, qui est la seule personne a venir la voir tous les jours. Elle lui en a voulu durant quelques mois lorsqu'il l'a placé dans cet endroit, mais c'est chose passée. Elle sait que ce n'était pas pour se débarrasser d'elle, même si elle continue de lui faire quelques remarques dans ce sens lors de ses visites. Lui, se sent coupable et préfèrerait qu'elle cesse ces allusions. Après tout, il l'a fait pour son bien.